
Elle m'avait allongé, et s'était faite prendre ainsi, assise sur moi. Elle semblait savourer le moment premier de mon sexe pénétrant en elle. Elle le guidait aveugle de sa main. Son regard alors se modifia. Les yeux demi-fermés, la bouche demi-ouverte, elle donnait le tempo au mouvement malicieux qui la faisait glisser le long de mon membre. Elle sourait parfois, mordait parfois du bout des dents sa lèvre inférieure.
Le moment sublime arriva où elle se cambra d'un seul élent, les bras repliés en arrières, les mains sur sa nuque accrochant ses cheveux. Je la trouvais merveilleuse et fascinante, et l'enviais presque de ce qu'elle éprouvait. Juste du balancement expert de son bassin, elle se faisait jouir de moi et me faisait jouir d'elle, assumant son art féminin d'une jeunesse sublime et savante.
3 commentaires:
Que dire... c'est beau... ça donne envie... ça fait frissoner...
c'est au mois de septembre que la lumière est la plus belle, jamais l'été ou l'hiver n'ont ces teintes chaudes et sensuelles
septembre a des humeurs très beaudelériennes, c'est vrai...
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