mardi 18 septembre 2007

Un après-midi de septembre

Elle avait 20 ans et les yeux vert, la peaux laiteuse et magnifique, le bout des seins aguicheur qui n'en pouvaient plus d'envie. C'était un après-midi d'autonme, de pluie et de thé au Jasmin. Sans un mot elle commençait à se dénuder, sans lenteur abusive ni précipitation, juste avec les mouvements serein et juste de ce dont elle était convaincue. La voilà offerte, conservant l'air fripon de ses lunettes qu'elle gardait encore un peu. Ses longs cheveux chatains et ondulés, caressaient avant mes mains, le creu de son dos.

Elle m'avait allongé, et s'était faite prendre ainsi, assise sur moi. Elle semblait savourer le moment premier de mon sexe pénétrant en elle. Elle le guidait aveugle de sa main. Son regard alors se modifia. Les yeux demi-fermés, la bouche demi-ouverte, elle donnait le tempo au mouvement malicieux qui la faisait glisser le long de mon membre. Elle sourait parfois, mordait parfois du bout des dents sa lèvre inférieure.

Le moment sublime arriva où elle se cambra d'un seul élent, les bras repliés en arrières, les mains sur sa nuque accrochant ses cheveux. Je la trouvais merveilleuse et fascinante, et l'enviais presque de ce qu'elle éprouvait. Juste du balancement expert de son bassin, elle se faisait jouir de moi et me faisait jouir d'elle, assumant son art féminin d'une jeunesse sublime et savante.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Que dire... c'est beau... ça donne envie... ça fait frissoner...

Anonyme a dit…

c'est au mois de septembre que la lumière est la plus belle, jamais l'été ou l'hiver n'ont ces teintes chaudes et sensuelles

D. a dit…

septembre a des humeurs très beaudelériennes, c'est vrai...