lundi 1 octobre 2007

vendredi 28 septembre 2007

envie du moment...

On en fantasme, on en parle, certains s'en font les experts... mais qui y a vraiement joui?

mercredi 26 septembre 2007

La médaille


Comme un anneau sur ma queue
Deux doigts malicieux
Accomplissent le jeu
De me narguer un peu

Elle attend le moment
Où mon sexe vibrant
Fera le mouvement
De jouir gentillement

Son regard fasciné
Envisage l'idée
De me faire gicler
Sur le bout de son nez

Mais mon humeur taquine
Se joue de la maline
Et décore sa poitrine
D'une médaille platine

samedi 22 septembre 2007

mon meilleur ami, et vous, parlez moi du votre

Je pars en week-end.
Seul?
Petite révision pour le week-end...
et vous, parlez moi du votre...



vendredi 21 septembre 2007

Juste quelques boutons de sonn pantalon...



Elle préfére garder son jean pour se caresser. Elle dégraphe juste les premiers boutons et laisse gliser sa main droite dans sa culotte. Elle adore faire cela devant moi, les fesses à moitié posées sur les rebord de mon lavabo. Elle adore me laisser deviner, voir le mouvement de sa main, la crispation progressive de son sourir, les rictus indécents de son visage. Parfois elle me regarde droit dans les yeux, fixant mon regard pour ne pas qu'il se perde. Hop, un petit tressaillement de plaisir, elle leve les yeux le soupçon d'un instant, et mon regard divage.

Sous la toile de son jean sa main adopte progressivement un mouvement maritime et régulier du flux et du reflux de ses doigts sur son clitoris, entre ses lèvres. ses doigts ressortent de se sexe avec un peu de son miel qui vient se répendre sur sa culotte. Elle adore se sentir mouiller, sentir sa culotte chaude et humide, tout garder pour elle en egoïste, et continuer de me narguer. Da sa main je ne vois que son poignet fin qui dépasse mais je devine tout. Les mesures de son visage deconcerté par l'irégularité de son souffle est infiniment plus existant que n'importe quel sexe qui serait offert béant à mon regard.

Elle jouit comme ça au bout de 5 à 10 minutes les fesses sur mon lavabo, plie parfois les genoux, gémit souvent, crie pas moment, éxagère de temps en temps. Et lorsqu'elle est là, épuisée et reprenant son souffle, je m'approche d'elle. Je viens lécher ses doigts. Puis je me mets à la défroquer, et comme un chat attentionné, je me mets à lapper entre ses cuisses l'émulation du bouillon qui l'a inondé.

jeudi 20 septembre 2007

mercredi 19 septembre 2007

on the road again

Fin de soirée, début de nuit, nous roulions entre ici et là. Elle avait un peu bu, elle était ravie de ce diner chez sa vieille amie. Le sourir au coin des lèvres elle s'est assise à côté de moi. Je conduisais. Sa ceinture attachée elle posait sa main sur la mienne que je laissais traîner sur le levier de vitesse, ses doigts entre les miens. La route était monotone, longue ligne droite d'une autoroute vide seulement réveillée des luimières agressives et régulières jaillissant du bord de la route.

Elle avait glisser sa main sur son ventre, sous son petit pull. Peut être avait elle trop mangé. Elle ferma les yeux et mis sa tête de coté. Bientôt elle fit entendre le premier bouton de son jean se dégrapher, puis le second, et un troisieme. La place était celle de cette main qui glissa de son ventre vers son entre-cuisses, d'abord sur la sa culotte, elle la remonta quelques instants après pour la passer sous l'élastique de celle-ci. Sans ouvrir les yeux elle me demanda si cela ne me génait pas, nallait pas m'empecher de conduire. Je souris que non. Je mentais. Elle dis "ok".

Elle ecarta comme elle pouvait ses cuisses pour être à l'aise et commenca de sa main ce petit mouvement régulier de ses doigts roulant sur son sexe. Elle entrouvrait les levres de sa bouche avec le bout de sa langue pendant que le bout de ses doigts elle entrouvrait aussi les levrès de son sexe. Sa respiration devenait un peu plus haletante. Son autre main écratait un peu la sangle de sa ceinture de sécurité pour respirer un peu mien. Elle accelérait les mouvements réguliers de sa main. Bientot les petits "clops" indécents naissaient de frotement de ses doigts contre son sexe mouillé. Elle respirait plus fort, elle respérait plus rapidement, elle jouissait bientot agrippant de sa main libre la mienne revenue sur le levier de vitesses. Son dos se décollait par accoups de son siège, sa tête roulait sur son appui-tête, la sangle de sa ceinture lui parait la gorge comme la main d'un amant qui la prendrait de derrière. Ses spasmes de plaisirs se clamaient bientôt. Sa respiration ralentit. Je crois qu'elle se laissait ensuite aller à un demi sommeil, à une réverie, toute débraillée, et la main encore entre ses cuisses comme pour en garder la chaleur.

mardi 18 septembre 2007

Un après-midi de septembre

Elle avait 20 ans et les yeux vert, la peaux laiteuse et magnifique, le bout des seins aguicheur qui n'en pouvaient plus d'envie. C'était un après-midi d'autonme, de pluie et de thé au Jasmin. Sans un mot elle commençait à se dénuder, sans lenteur abusive ni précipitation, juste avec les mouvements serein et juste de ce dont elle était convaincue. La voilà offerte, conservant l'air fripon de ses lunettes qu'elle gardait encore un peu. Ses longs cheveux chatains et ondulés, caressaient avant mes mains, le creu de son dos.

Elle m'avait allongé, et s'était faite prendre ainsi, assise sur moi. Elle semblait savourer le moment premier de mon sexe pénétrant en elle. Elle le guidait aveugle de sa main. Son regard alors se modifia. Les yeux demi-fermés, la bouche demi-ouverte, elle donnait le tempo au mouvement malicieux qui la faisait glisser le long de mon membre. Elle sourait parfois, mordait parfois du bout des dents sa lèvre inférieure.

Le moment sublime arriva où elle se cambra d'un seul élent, les bras repliés en arrières, les mains sur sa nuque accrochant ses cheveux. Je la trouvais merveilleuse et fascinante, et l'enviais presque de ce qu'elle éprouvait. Juste du balancement expert de son bassin, elle se faisait jouir de moi et me faisait jouir d'elle, assumant son art féminin d'une jeunesse sublime et savante.

lundi 17 septembre 2007

délassement


Ses yeux à demi-fermés
Sa bouche à demi-ouverte
Le corps tout allongé
Les cuisses grandes offertes
Elle me regarde la gouter
Comme on peut aspirer à l'être

dimanche 16 septembre 2007

charmant

Une amie me l'a envoyé, je ne pouvais pas ne pas vous la faire partager...